Le rapport de l’Unicef « Progrès pour les enfants, un bilan de la protection de l’enfant », présente des chiffres alarmants.
En Afrique subsaharienne, plus d’un tiers des enfants de 5 à 14 ans travaillent. Autre constat dramatique : en Somalie et au Liberia, moins de 5 % des naissances sont enregistrées. Cet enregistrement est pourtant essentiel à la protection des enfants : sans identité officielle, ces enfants sont plus vulnérables face à l’exploitation sexuelle, à la traite, à l’adoption illégale.
Des millions de garçons et de filles autour du monde continuent de subir de telles violations de leurs droits les plus fondamentaux : abus sexuels, traite, exploitation, mariages précoces, mutilations sexuelles, travail, violences…
Extrait :
« L’inscription d’un enfant au registre des naissances permet à celui-ci d’obtenir un document officiel prouvant son existence et sa nationalité ; elle est considérée comme un droit fondamental conformément à l’article 7 de la Convention relative aux droits de l’enfant. L’enregistrement des naissances devrait être gratuit et universel. Pourtant, en 2007, près de 51 millions d’enfants n’ont pas été enregistrés et la moitié d’entre eux vivaient en Asie du Sud. Un pays en développement sur quatre pour lesquels des données sont disponibles affiche un taux d’enregistrement des naissances inférieur à 50 %. »
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